Un mal pour un bien… une vraie phrase de looser. Et pourtant…
pourtant parfois le destin se charge de nous remettre dans le bon chemin. Pionnier du capital-investissement au début des années 90, je ne me retrouvais plus dans ce métier d’artisan devenu une industrie.
Je suis monté sur scène pour me reconstruire après l’exclusion de la société que j’avais co-fondée. Ce défi est devenu mon nouveau métier. Un virage à 180° à 50 ans? Oui et non.
Oui car je découvre de nouvelles personnes, de nouveaux lieux…
Non car l’expérience accumulée et le fameux soft skills comme on les appelle aujourd’hui demeurent.
Même si on met souvent les individus dans des cases, sortez de la boîte, ne vous mettez pas de barrières et vous verrez, on a tous des ressources insoupçonnées.